48% des firmes de Private Equity sud-africaines donnent désormais la priorité aux critères environnementaux, sociaux et de gouvernance (ESG), devant la gestion des talents (46%) et l’élargissement de la gamme de produits (37%).
C’est ce que révèle la dernière étude menée par le cabinet EY et l’Association sud-africaine du capital-risque et du capital-investissement (SAVCA).
81% des acteurs sud-africains du Private Equity ont d’ailleurs subi des pressions liées aux critères ESG de la part de leurs investisseurs ou potentiels investisseurs.
Comme le précise l’Agence Ecofin , « ces pressions concernent essentiellement les domaines de l’adaptation de la stratégie d’investissement pour répondre aux exigences ESG, la mesure de la performance du portefeuille par rapport à ces exigences et l’amélioration de la qualité et de la fréquence du reporting y afférent ».
Le Private Equity se place donc comme moteur incontournable pour accompagner les entreprises à générer des impacts sociaux et environnementaux positifs en plus d’un rendement financier. Les acteurs du capital-investissement en Afrique du Sud sont d’ailleurs optimistes pour l’avenir. 67% d’entre eux envisagent que la taille de leur prochain fonds sera « plus grande », voire « beaucoup plus grande » que leur dernier fonds.