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Accéder à des fonds inaccessibles

Épisode
14
7:53mn

Résumé

Altaroc offre à ses clients un accès privilégié à des fonds de Private Equity, difficiles d'accès pour les investisseurs privés. Altaroc a mis en place un processus de sélection des gérants rigoureux des gérants basé sur des critères financiers et extra-financiers exigeants. L'ambition d'Altaroc est de battre la performance moyenne du marché en exposant ses clients uniquement au premier quartile, dont les gérants d'exception ont livré entre 20 et 24 % de rendement net annuel sur le long terme.

Transcription écrite

Alors la troisième raison d'investir chez Altaroc, c'est qu'on vous donne accès à des fonds dans lesquels il est très, très difficile d'investir parce que ce sont les plus grands fonds mondiaux. Alors, je voudrais m'expliquer ici. Si vous avez retenu une chose tout à l'heure, c'est que la performance moyenne du Private Equity mondial était à peu près de douze et demi pour 100 par an sur longue période. Net de frais nets de tout. Notre ambition chez Altaroc, ce n'est pas de vous exposer à la moyenne du Private Equity mondial, c'est de vous exposer à ce qu'on appelle la performance du premier quartile. Il y a 5 000 fonds de Private Equity qui lèvent de l'argent tous les ans dans le monde. Le premier quartile, c'est les 25 % des meilleurs fonds mondiaux, c’est-à-dire à peu près 1 250 fonds. Quelle est la performance de ces 1 250 gérants, les meilleurs du marché ? Et bien vous le voyez ici, on vous l'a mis sur.. On vous l'a mis sur dix ans, quinze ans, 20 ans pour pas qu'il y ait de discussion. On constate quoi ? On constate que ces gérants d'exception ont livré, je dirais, entre 20 et 24 % net par an sur très longue période. Absolument remarquable. Notre ambition chez Altaroc, vous exposez non pas à la performance moyenne du marché, mais à la performance du premier quartile de l'industrie. Donc, il y a deux choses que j'aimerais que vous reteniez sur la performance du premier quartile. D'abord en valeur absolue, elle est dingue. On parle de 20 à 24 % de performance nette par an net de tout frais imbattable en valeur relative.

Maintenant, quand je compare la performance du premier quartile des fonds avec la moyenne des fonds, si je prends 20 %, allez, on va dire 20 % pour le premier quartile et douze et demi pour 100 ou 12 % pour la moyenne du Private Equity. Il y a à peu près 8 % d'écart de performance entre un gérant premier quartile et la moyenne du marché. Notre ambition chez Altaroc, c'est de vous exposer au premier quartile, c’est-à-dire de battre la moyenne du marché de 8 % par an de 800 points de base. Alors, il y a un écart énorme de performance entre les premiers gérants et la moyenne du marché qu'on ne retrouve pas sur les marchés cotés. Sur les marchés cotés, entre un très bon gérant et la moyenne du marché, il y a à peu près 100 850 pips. Dans le Private Equity, c'est différent, il y a à peu près 800 bips d'écart. Alors pour ceux qui ont retenu ce que j'ai dit tout à l'heure, il y a à peu près 7 % d'écart entre la moyenne du PE et les Marchés cotés et 8 % d'écart entre le premier quartile et la moyenne du Private Equity. Ce qui fait qu'au final, par transition, il y a à peu près 15 % d'écart de performance entre le premier quartile et les marchés côtés sur longue période, 15 % d'écart par an, bien sûr. Donc notre ambition chez Altaroc pas uniquement de vous exposer à la moyenne du Private Equity, ce qui en soi serait déjà magnifique de vous exposer à la performance des meilleurs gérants mondiaux, c’est-à-dire du premier quartile du Private Equity mondial.

Alors pourquoi est ce que vous avez besoin de nous pour faire ça ? Et pourquoi vous ne pouvez pas le faire tout seul ? Je dirais qu'il y a quatre raisons. La première, c'est que ces gérants, ils sont compliqués à identifier. L'industrie du Private Equity, elle est opaque, elle est difficile à accéder. C'est un monde très institutionnel qui n'est jusqu'à aujourd'hui fait que pour les institutionnels. Donc identifier les très bons gérants, c'est complexe. La deuxième chose, et j'ai dit en introduction de ma présentation le ticket d'entrée pour entrer dans ces fonds, il est à minima de 10 millions de dollars, voire pour les meilleurs gérants de 50 ou de 75 millions de dollars. C'est clairement pas des sommes que des clients privés pourront ou voudront mettre dans un seul gérant. La troisième raison, c'est que ces gérants sont tous sur-souscrits. Alors on me demande souvent Frédéric, ça veut dire quoi ? Ça veut dire qu'il n'y a pas de place ? Ça veut dire que tous les institutionnels qui ont accompagné ces fonds dans leurs fonds passés, ils veulent tous revenir et donc il n'y a pas de place pour les nouveaux souscripteurs. Donc, de rentrer dans ces fonds, ça n'est pas possible. Ces fonds sont sur-souscrit. Il y a un énorme enjeu d'accès. L'accessibilité est impossible. Ils sont très désirables mais inaccessibles. Et enfin, la dernière raison ces gérants ne veulent pas de clients privés.

Ils ne savent pas les gérer. Ils n'ont pas besoin d'eux, ils ne savent pas les administrer et ils n'ont pas la technologie ou les agréments réglementaires pour aller les chercher. Donc, pour vous, clients privés, accéder à ces gérants du premier quartile mondial n'est pas pratiquement pas possible. Alors Maurice et moi, on a quelques avantages sur vous. D'abord, ça fait 50 ans que Maurice navigue dans cette industrie, ça fait 33 ans que je navigue dans cette industrie. Donc à nous deux, on connaît intimement l'industrie. Je vous ai mis ici Dimitri. Donc Dimitri Bernard a passé dix ans dans le Private Equity sélection de fonds, cinq ans chez Ardian, cinq ans chez Indosuez où il s'occupait de la sélection de fonds européens. Et puis on a on a une nouvelle recrue qui arrive là, qui va nous accompagner aussi dans cet exercice. Il nous arrive prochainement. Il était le patron du Private Equity chez un des plus gros assureurs vie mondiale, un des plus gros assureurs vie américains. Et donc il complémentera de façon magnifique l'expertise opérationnelle de patrons de fonds que Maurice et moi on a, avec une expertise incroyable de sélectionneurs de fonds. Et puis quand il vous dira que les portefeuilles Altaroc sont de qualité exceptionnelle et que lui-même avait du mal à sourcer des investissements de cette qualité-là, ça parlera encore plus que quand Maurice et moi on le dit. Donc on a on a des critères de sélection qui sont très exigeants chez Altaroc. On cherche des gérants qui ont plus de 25 ans d'histoire parce qu'on pense qu'il faut au moins 25 ans pour savoir si un gérant est extraordinaire.

On veut des gérants qui ont traversé des crises économiques majeures. On veut savoir comment ces gérants ont performé dans ces crises incroyables. On veut savoir aussi comment ces gérants se sont comportés en termes de gouvernance et ce qu'ils ont réussi à garder les talents. Parce que celui qui gère votre capital sur les dix prochaines années, ce n'est pas le partenaire de 70 ans qui a 40 ans de track-record. C'est le jeune partenaire à qui il a fait confiance qui a 55 ans ou 50 ans, ou 45 ans ou 40 ans. Donc, on voudra s'assurer que les partenaires historiques ont su passer la main. Et pour ça, il faut du temps, il faut regarder comment ces firmes se sont comportées. Et puis on veut surtout des firmes qui ont mis en place des process, une culture, une gouvernance d'exception. Et pour ça, il faut du temps. C'est un métier qui nécessite du compagnonnage, de l'expertise. Donc on s'est mis comme critère numéro 1 25 ans de track. Deuxièmement, évidemment, un track d'exception. On veut des gérants qui, sur les 20 années passées, ont livré au moins 15% de TRI net par an sur tous leurs fonds et au moins deux fois la mise en cash sur chaque millésime. On veut enfin des gérants qui lèvent au moins 1 milliard par fonds. C'est pas qu'on n'aime pas les gérants plus petits, c'est qu'ils sont évidemment plus risqués parce que les gérants plus petits vont dépendre de un ou deux partenaires et on ne veut pas de risque intuitu personae.

Donc on est parti sur des gérants qui levaient au moins 1 milliard. Voilà, ça c'est pour des critères financiers strict minimum. Et puis on a toute une série de critères extra-financiers : la stratégie, la cohérence de la stratégie, la vision partagée sur la stratégie, la qualité des équipes, le track-record par secteur, par pays, par partner, l'alignement des intérêts des associés. Combien les associés, les managers, les directeurs investissent-ils dans leurs fonds ? Évidemment, les termes et conditions du fonds, et puis les segments sur lesquels le fonds est positionné. Est-ce qu'on est très convaincu des segments sur lesquels ils sont positionnés, des pays sur lesquels ils veulent investir ? Voici tous les critères financiers et extra-financiers qu'a aujourd'hui Maurice, Dimitri et moi et puis demain, notre collègue, Je voudrais revenir sur un point important on passe à peu près quatre mois à diligenter de l'intérieur des gérants qu'on connaît pour s'assurer qu'on n'a absolument rien raté. On va les voir dans leur pays d'origine, dans leur bureau d'origine et on passe du temps avec tous les partenaires clés de ces fonds pour être sûrs que nous les connaissons parfaitement et qu'on s'est bien assuré de la stratégie et qu'on est bien en raccord avec eux. Et je peux dire enfin que pour rentrer dans ces fonds, on se bagarre presque physiquement pour avoir de la place, parce qu'il est très très très difficile d'y rentrer. C'est pour ça que Altaroc peut vous intéresser.

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