Souscrire de façon simple dans un portefeuille construit avec des convictions fortes
Résumé
Transcription écrite
Alors la raison 5, c'est qu'on va construire pour vous des portefeuilles clés en main, avec une vraie stratégie, avec une vraie vision. On ne va pas uniquement vous faire rentrer dans un fonds premier quartile mondial, ce qui déjà est fantastique, ni même dans 6 fonds fantastiques. On va vous construire un portefeuille autour de 6 fonds avec une vraie cohérence. Je vous rappelle que quand vous investissez, quand votre conseiller en gestion de patrimoine ou votre banquier privé vous conseille sur une allocation cotée, il vous fait une recommandation stratégique. Et bien nous, on va vous construire clés en main le portefeuille chez Altaroc. Et ça, c'est très important de le comprendre. Maurice et moi, on va mettre des dizaines et des dizaines d'années d'expérience pour vous construire un portefeuille clé en main, diversifié, équilibré, construit autour de certaines de nos meilleures convictions. Ce qu'on voit ici. On vous a mis ici trois règles d'or pour construire des portefeuilles. La règle 1 elle vous paraît simple : identifier les meilleurs gérants mondiaux et investir chez eux. Alors je vous ai dit tout à l'heure c'est compliqué d'identifier parce qu'il y a 5 000 gérants dans le monde, il faut à peu près tous les connaître. Il faut surtout avoir accès à l'information. Elle est complexe, elle est assez opaque. Il faut être capable de comparer les fonds les uns avec les autres et parfois les gérants de Private Equity, je ne dirais pas manipuler les chiffres, mais les présentent sous leur meilleur jour.
Il faut savoir les décortiquer. Et puis enfin, il faut être capable d'investir dans les meilleurs gérants qu'on aura identifiés. Donc cette règle 1 qui a l'air simple est très complexe, beaucoup plus complexe sur les marchés non cotés que sur les marchés cotés. La deuxième raison, c'est de bien choisir les segments du Private Equity sur lesquels vous voulez investir. On a décidé chez Altaroc de se concentrer sur le Growth et le Buy-out, comme je l'ai expliqué tout à l'heure, parce que ce sont deux des segments du marché qui présentent le couple rendement risque le plus attractif. On pense que le Venture Capital et le Turnaround ne sont pas adaptés à des clients privés et enfin se construire un portefeuille diversifié. Alors chez Altaroc, on met chaque année six gérants d'exception dans chaque portefeuille pour que le portefeuille ne soit pas dépendant de la performance d'un gérant. Même si on choisit des gérants d'exception, il peut y avoir une défaillance de gérants. Ça peut arriver. Pour la minimiser, pour la désensibiliser, on vous construit un portefeuille diversifié autour de six gérants. Alors certains me disent Frédéric, pourquoi tu ne mets pas plus de gérants ? On pourrait. Eh bien parce que chaque portefeuille, quand on dit six gérants, pour être clair, six gérant, c'est à peu près 200 lignes par fonds en sous jacent, 200 sociétés, ça suffit largement en termes de diversification, Si on met plus de gérants, on aura une diversification du risque à peine meilleure.
Par contre, on va moyenner la performance. De plus en plus de gérants. Et si vous vous souvenez ce que j'ai dit tout à l'heure, au lieu de livrer la performance des meilleurs gérants de l'industrie, on va tendre à nouveau vers la moyenne de l'industrie, ce qui n'est pas l'objet d'Altaroc. Nous sommes des portefeuilles à fortes convictions et donc notre intime conviction, c'est le cas de le dire, c'est qu'avec six gérants, vous avez un portefeuille parfait. Comment est ce qu'on choisit nos gérants ? Alors j'ai expliqué tout à l'heure, on a des règles financières simples. On s'est dit allez, 25 ans d'histoire minimum 15 % de TRI par an sur les 20 ans passés, deux fois la miss casn on cash sur chaque Millésime, des fonds d'au moins 1 milliard. Ça, c'était des critères financiers mini minimorum. Alors ça, ça nous ferait passer de 5 000 gérants par an qui lèvent à 2 000 gérants par an, qui lèvent. Comment on choisit sur les 2 000 gérants ? Eh bien, on a des critères sectoriels et on a des critères pays. Alors, sur les critères pays, je vous ai mis ici, en bas à droite, le petit camembert. Les meilleurs gérants du monde en Private Equity sont américains. Pas parce qu'ils sont plus intelligents que nous, parce qu'ils ont démarré avant nous. Le Private Equity est né aux US il y a 60 ans. C'est une industrie de compagnonnage. Il y a tout un écosystème.
C'est comme la Silicon Valley, elle est née aux États-Unis. Il y a un écosystème de la Silicon Valley. Et bien le Private Equity est né aux US. Il y a tout un écosystème américain, du Private Equity, des banques, des conseils, des financeurs, des managers, des sorties boursières possibles. Il y a tout un écosystème qui permet une surperformance. Si je fais simple, le premier quartile américain surperforme le premier quartile européen de cinq points qui lui-même surperforme le premier quartile asiatique de cinq points. Donc notre ambition : on est agnostique nous au pays, on veut juste le meilleur pour vous. 40 % de notre portefeuille sera américain parce que c'est là qu'on trouve les meilleurs gérants au monde. 40 % de notre portefeuille est ensuite européen parce qu'on y trouve de très bons gérants, avec notre monnaie de référence, c'est l'euro. Et enfin, on va essayer chaque année de trouver dans le reste du monde, essentiellement l'Asie et Israël, des gérants d'exception. Et si on ne trouve pas de gérants d'exception dans ces géographies parce qu'ils sont durs à trouver, on investira dans ces géographies par le biais des gérants américains et européens qu'on aura sélectionnés. En tout cas, le portefeuille est totalement mondial et au moins 40% du portefeuille sera américain chaque année, parce que c'est là qu'on trouve les meilleures performances. Alors maintenant, sur les secteurs, quand vous construisez un portefeuille coté, c'est évident que vous êtes concentrés sur les secteurs dans lesquels vous voulez investir et votre conseiller ou votre banquier va vous dire "Tu devrais t'exposer ou te surexposer à tel secteur parce qu'il va surperformer
l'économie mondiale". En Private Equity, c'est pareil. Donc on a décidé de se surexposer à quatre segments du marché sur lesquels on a de très fortes convictions de croissance séculaire et qui sont les suivants. Le monde du logiciel qu'on a appelé tech et techno. 50 % de nos portefeuilles sont concentrés chez des éditeurs de logiciels, essentiellement sur le cloud en mode SaaS, qui vendent de l'abonnement à leurs clients privés sur des produits qui sont critiques. Voilà, ça représente la moitié du portefeuille, 20 % du portefeuille sont des sociétés du monde de la santé. Parce qu'on est convaincu que le monde de demain, la santé, fera partie intégrale du monde de demain, que c'est très peu cyclique, extrêmement résilient et qu'il y a des innovations technologiques majeures qui sous tendent des nouveaux modes de consommation de la santé. Et enfin, 30 % de notre portefeuille est orienté autour de plateformes digitales, 10 % dans le monde du retail, du consommateur, ce qu'on appelle le fameux B2C et 30 % dans le monde des services, des services professionnels de ce qu'on appelle le B2B, les plateformes B2B ou B2B2C. Voilà, c'est ça la construction sectorielle de notre portefeuille. Parce qu'on pense que ces secteurs-là vont surperformer l'économie mondiale et qu'ils nous permettront de créer pour vous des portefeuilles surperformants qui seront d'autant moins sensibles aux évolutions des valorisations.